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Comment s'arrêtent les guerres avec Renaud Girard le 29 avril 2025

Comment s'arrêtent les guerres avec Renaud Girard le 29 avril 2025

Comment s'arrêtent les guerres

Conférence du 29 avril 2025 à l’Ecole normale supérieure

Comment s’arrêtent les guerres ?

Par Renaud Girard

Dans une interview à la télévision suisse, diffusée le 9 mars 2024, le pape François lança un appel solennel pour une paix en Ukraine. Il appela les belligérants à « avoir le courage de négocier » et rappela qu’il y avait de nombreux acteurs « prêts à jouer le rôle de médiateurs, par exemple la Turquie ».

Au mois de mars 2022, il y avait eu à Istanbul des négociations approfondies entre Russes et Ukrainiens et un compromis avait été pratiquement atteint. C’était une neutralisation de l’Ukraine assortie de garanties de sécurité internationales, un statut d’autonomie pour le Donbass et le report à vingt ans de la question de la Crimée.

Il y a encore un flou historique sur les raisons pour lesquels l’accord n’avait finalement pas été signé. Est-ce parce que les Ukrainiens renoncèrent à le signer après que le premier ministre britannique Boris Johnson, en visite surprise à Kiev le 9 avril 2022, les eut dissuadés d’accepter ce compromis, en leur expliquant que les sanctions occidentales allaient détruire l’économie russe et en leur promettant une aide militaire substantielle, qui leur permettrait de chasser l’envahisseur russe de tous les territoires ukrainiens selon le droit international, y compris la Crimée ? Le retrait pagailleux de la colonne blindée russe qui avait foncé sur Kiev depuis la frontière biélorusse avait donné une impression de grande faiblesse structurelle de l’armée de Poutine, laquelle avait suscité l’espoir momentané d’une victoire militaire ukrainienne.

Est-ce en raison de l’impact, sur les opinions publiques ukrainienne et occidentale, de la découverte des atrocités commises par l’armée russe d’occupation dans la ville de Boutcha ?

Toujours est-il que les Ukrainiens interrompirent les négociations et que la guerre s’intensifia. Après la victoire militaire ukrainienne à Lyman (montrer carte) et le retrait russe de Kherson au début de l’automne 2022, les commentateurs occidentaux commencèrent à prévoir une prochaine défaite russe, faisant parfois même des plans sur la comète quant à un effondrement inéluctable du régime de Poutine et la nécessité d’un éclatement futur de la Russie en quatre ou cinq entités pacifiques. L’échec des offensives ukrainiennes de l’année 2023, et la résilience de l’économie russe, constatée par le FMI, montrèrent que tout cela n’était que du wishful thinking.

Cependant, animés par leur refus de la servitude, confortés par la détermination de leurs amis de l’Otan à les aider – le 20 avril 2024, le Congrès vote une aide gigantesque de 61 milliards de dollars -, les Ukrainiens n’étaient alors pas prêts à négocier. Ils ne souhaitaient pas ouvrir des négociations de paix avec la Russie tant qu’elle ne se serait pas retirée des territoires conquis par la force.

A l’époque, nous étions dans une situation de guerre d’attrition, où le front ne bougeait pratiquement plus. Les belligérants n’imaginaient pas d’autre sortie que la victoire, tant ils avaient déjà investi dans la guerre en sacrifices humains et matériels. Ils n’envisageaient pas l’hypothèse d’une aggravation de leur condition qui les aurait poussés à négocier à ce moment-là, pour éviter le pire plus tard.

C’est le choix qu’avait fait la Finlande de Mannerheim en août 1944. Pour faire la paix avec Staline, elle avait dû céder des territoires (carte) et s’engager à rester neutre. Mais le pari se révéla judicieux en mai 1945, quand l’Union soviétique réduisit toute l’Europe orientale en servitude, avec la bénédiction tacite des Etats-Unis.

Durant le premier conflit mondial, le pape Benoît XV avait lui aussi tenté d’arrêter la guerre civile européenne, en envoyant, le 1er août 1917 une lettre d’« exhortation à la paix » à tous les belligérants. Cela n’avait pas marché.

Il fallut attendre l’été 1918 où, sous les coups de boutoir de l’offensive Foch, l’armée allemande, épuisée, perdit son moral, puis sa combativité (carte des avancées alliées de 1918). Son effondrement, couplé à un début de révolution communiste en Allemagne, provoqua l’abdication de l’empereur puis l’armistice de Rethondes, le 11 novembre 1918.

On n’avait pas il y a un an cette configuration en Ukraine. Ni les Russes, ni les Ukrainiens n’allaient s’effondrer. Les premiers jouissaient d’une profondeur stratégique sans égal et du soutien économique des pays du Sud global. Les seconds avaient une armée qui tenaient bon et ils jouissaient d’un soutien diplomatique, militaire et financier occidental sans faille.

Pour que la guerre de Corée (commencée par l’invasion communiste de juin 1950, montrer carte) s’arrête, il fallut un événement fort, inattendu, collatéral, qui à lui seul changea la donne : la mort de Staline, en mars 1953. La Chine de Mao comprit alors que le soutien soviétique pouvait faiblir et qu’il valait mieux négocier. En face d’elle, un nouveau président était arrivé à la Maison Blanche. C’était un grand général, mais qui n’était pas belliciste : Eisenhower. En juillet 1953 était signé l’armistice de Panmunjom. Après plus d’un million de morts, on revenait pratiquement à la frontière de 1945 entre Corée communiste et Corée pro-occidentale, c’est-à-dire au 38ème parallèle. La situation n’a depuis pas changé.

Dans la guerre d’Ukraine, l’événement collatéral qui a changé la donne est le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Le 47ème président des Etats-Unis a entamé un processus de normalisation avec la Russie, dont l’Ukraine pourrait faire les frais. J’emploie le conditionnel, car le dossier n’est pas clos. L’administration Trump a bousculé Zélinsky (photos de l’entretien dans le bureau Ovale du 28 février 2025 et dans la Basilique Saint-Pierre) pour qu’il accepte la négociation diplomatique. Kiev a accepté le principe d’un cessez-le-feu immédiat et a obtenu le retour du renseignement et des armements

américains. Trump a cajolé Poutine pour obtenir un cessez-le feu de sa part mais le Russe traîne les pieds. A la critique de Trump exprimée sur son compte X (« je me demande si Poutine n’est pas en train de me balader »), le président russe n’a répondu que par une offre d’une trêve de trois jours pour le 9 mai. On en est là.

Dans la guerre médiatique, qui est devenue une composante primordiale des conflits contemporains, la Russie s’est transportée sur le théâtre de l’Arctique, que le rival ou ami américain - on ne sait pas trop - a investi depuis le retour de Trump aux affaires (photo Poutine à Mourmansk, et carte du Globe vue du pôle Nord).

Ce fut une aimable distraction avant que les deux puissances ne reviennent au dossier de l’Ukraine (carte du front ukrainien actuel). Si j’étais le conseiller de Poutine, je lui conseillerais d’accepter la proposition de cessez-le-feu par peur qu’un Trump déçu vire à nouveau à 180 degrés, en faveur du camp ukrainien. Les Ukrainiens ont adopté la sage stratégie de ne pas prendre les Américains de front, et de renforcer leurs liens avec l’Europe, de laquelle ils attendent une aide financière et en armements substantielle. Ils ont des réserves en munitions depuis que l’aide américaine est passée après le vote du Congrès. Le reliquat continue à arriver par la frontière polonaise. L’important pour l’Ukraine est d’obtenir le maintien du renseignement américain. Car les Ukrainiens savent que le Congrès ne va pas voter un nouveau train d’aides en leur faveur.

Pourquoi Poutine ne signe-t-il pas le cessez-le-feu ? Talleyrand disait qu’on ne pouvait pas changer significativement dans une négociation diplomatique les rapports de force issus du champ de bataille. On se demande si Poutine pense qu’il a désormais les moyens de percer le front, de menacer une grande agglomération ukrainienne comme Kharkiv ou Odessa, afin d’entamer la négociation en position de force et d’obtenir, au moins en partie, la satisfaction de ses revendications :

1. Démilitarisation de l’Ukraine

2. Nouveau gouvernement à Kiev

3. Contrôle complet des quatre oblasts annexés

4. Neutralité de l’Ukraine

5. Levée des sanctions

Le maximalisme de Poutine ne semble pas aujourd’hui soutenu par les réalités de terrain. Il y a un grignotage de l’armée russe, mais aucune avancée stratégique d’envergure pour le moment. L’armée ukrainienne semble tenir bon. Elle a le moral. En Ukraine, ni les politiques, ni les militaires ne veulent de capitulation. Aucun dirigeant ukrainien ne signera de traité abandonnant des territoires.

Le contraire de la France de 1814 (carte campagne de France) ou de 1870 (traité franco-prussien de 1871 et carte).

Dans ce contexte les exigences du Kremlin semblent maximalistes et dépasser la stratégie russe habituelle du conflit gelé (carte des conflits gelés). Vouloir toujours plus. Vladimir Poutine serait-il guetté, depuis le virage de l’Amérique à 180 degrés par un phénomène d’hubris, se demandent aujourd’hui les observateurs occidentaux ?

Souvenons-nous du schéma de l’hubris chez les Grecs. (schéma hubris-até-nemesis-tisis). C’est un schéma qui, pour les Grecs, s’applique par exemple à Xersès pendant la deuxième guerre médique. (schéma de la deuxième guerre médique ). L’hubris car il est à la tête d’une force immense, car il a conquis la Macédoine, la Thessalie, gagne aux Thermopyles, et va jusqu’à brûler Athènes, vidé de sa population.

On peut parfaitement l’appliquer à Hitler.

Si on prend le regard russe et non le regard occidental sur la guerre d’Ukraine, la référence sera plutôt le piège de Thucydide. L’historien (qui a été aussi un général dans cette guerre, mais forcé à l’exil après avoir perdu une bataille) « la cause la plus vraie (de la guerre du Péloponnèse), et aussi la moins avouée, c’est à mon sens que les Athéniens, en s’accroissant, donnèrent de l’appréhension aux Lacédémoniens, les contraignant ainsi à la guerre ». L’appréhension de l’extension de l’Otan.

Selon le polémologue Allison Graham, le piège de Thucydide s’est souvent appliqué dans l’Histoire. L’Empire britannique qui voit d’un très mauvais oeil la montée en puissance de l’Empire allemand, notamment avec la politique navale de l’amiral Von Tirpitz explique selon lui le déclenchement de la 1ère guerre mondiale. Il craint aujourd’hui qu’il ne s’applique à l’Amérique par rapport à la Chine. (carte des bases américaines en Asie).

Aujourd’hui en Ukraine, la balle est clairement dans le camp de Poutine pour arrêter la guerre. La voie à adopter par la médiation américaine est claire : que chacun des deux belligérants puisse sauver la face et crier victoire. Zélinsky pourra clairement dire qu’il sauvé l’indépendance et la liberté des Ukrainiens et qu’il a pavé leur route vers l’intégration dans l’Union européenne. Poutine pourra clamer qu’il a sauvé les russophiles russophones ukrainiens et qu’il a empêché l’Ukraine d’intégrer l’Otan.

Si Poutine continue à traîner les pieds, par hubris, par rêve de percée militaire, par rêve de soumettre l’Ukraine une fois pour toutes, il prend un risque : exaspérer Trump, lui faire prendre un nouveau virage à 180 degrés, qui ramènerait l’Amérique à fond derrière l’Ukraine.

Comment les Américains ont arrêté la guerre de Bosnie

La guerre d’Ukraine est la fille tardive de la désintégration de l’URSS. J’ai couvert, du début à la fin, la désintégration de la Yougoslavie titiste. J’ai vu le diplomate américain Richard Holbrooke remarquablement guider les Yougoslaves vers le cessez-le-feu, la négociation puis la paix. Raconter le deal sur la Bosnie, qui passe d’abord par un rééquilibrage des forces. (carte de la bosnie en guerre).

Le Kosovo se gèrera quand les Russes abandonneront les Serbes. Raconter. (Carte du Kosovo).

Le problème est que nous n’avons pas aujourd’hui de puissance tutélaire de la Russie capable de la faire céder. L’Onu n’a jamais eu cette force. Les puissants, membres permanents du Conseil de sécurité, la contournent quand ils le veulent.

La Russie a clairement violé la charte de l’Onu quand elle a envahi l’Ukraine. Mais l’Amérique avait fait la même chose en envahissant l’Irak en 2003.

La Libye a été le contournement de trop, qui a conduit à la paralysie du Conseil de sécurité. La guerre de Sarkozy en Libye contre Kadhafi est une guerre qui visait à pacifier le pays. Elle a au contraire créer davantage de guerre. Elle a mis un chaos en Libye, mais aussi dans tout le Sahel qui n’est toujours pas résolu. (carte du Sahel).

Aujourd’hui, au Sahel, nous avons une guerre sans fin, car nous sommes retournés dans un univers pré-westphalien (photo du traité de Westphalie), après la destruction du régime Kadhafi qui, grâce à son argent, maintenait l’édifice étatique sahélien debout. En Libye, on est revenu au Moyen-Age. Expliquer le monde westphalien où la guerre est un jeu, entre Etats, et qui a des règles. Michael Collins fait rentrer l’Irlande dans le monde westphalien lorsqu’il détruit les membres de l’Ira qui refusent d’appliquer le traité signé avec l’Angleterre en décembre 1921.

La désuétude contemporaine du cadre westphalien

La difficulté de la polémologie contemporaine est que les guerres asymétriques actuelles n’entrent plus dans un cadre westphalien. On n’imagine hélas pas aujourd’hui la possibilité d’un traité qui mettrait fin à la guerre permanente au Sahel.

La plupart des guerres que j’ai couvertes au cours des quarante dernières années ont fini par rentrer dans un cadre westphalien ou pseudo-westphalien (armistice réel sans traité de paix) :

-Chypre

-Iran-Irak et autres guerres du Golfe

-Cambodge

-Liban

-Yougoslavie

-Afghanistan

C’est en Afrique, où les structures tribales sont souvent plus solides que les structures étatiques, que la paix westphalienne est la plus difficile à réaliser. Exemples :

-Somalie

-Soudan nord et sud.

-Sahel.

On n’arrive pas dans ces régions-là à parvenir à un état de paix durable. La France a allumé un feu en Libye, qu’elle n’a plus pu éteindre ensuite.

Il est clair que la guerre qui nous préoccupe le plus actuellement, la guerre d’Ukraine aura une fin westphalienne, ou pseudo-westphalienne.

En revanche, il y a un autre grand conflit dont nous n’avons pas encore parlé, et dont nous ne voyons pas la fin depuis qu’il est passé de westphalien à non-westphalien, c’est le conflit israélo-palestinien. Expliquer. (carte du conflit israélo-palestinien). La nature de l’attaque du 7 octobre 2023, et son dérapage, et ses conséquences inattendues. Le Hamas souhaitait à rappeler haut et fort le problème palestinien, mais sa mauvaise maîtrise de l’attaque a tout fait dérailler et entraîné des représailles israéliennes telles que la présence palestinienne à Gaza n’est plus garantie. (cf déclaration du porte-parole du fatah) . En 1994, le Hamas avait déjà pris la lourde responsabilité historique de faire dérailler un processus de paix qui était bien engagé. Mais la balle est aussi dans le camp d’Israël : Netanyahou ne nous a toujours pas expliqué comment il envisage pour les trente prochaines années la cohabitation de 7 millions de Juifs et 7 millions de musulmans sur le territoire de la Palestine mandataire, que Tsahal contrôle entièrement.

Tant qu’il n’y aura pas eu de proposition israélienne claire et de réponse palestinienne représentative et responsable, la guerre ne s’arrêtera pas en Terre Sainte.

Lorsqu’ils commencent une guerre, les grandes puissances ont tendance à ne pas le reconnaître franchement, à utiliser des euphémismes. Pour Poutine, sa guerre en Ukraine est une simple « opération spéciale ». Il n’imagine pas que son armée ne va pas prendre Kiev en trois jours, que son opération va dérailler. Les Occidentaux quant à eux ont inventé le concept de « guerres humanitaires ». Ils interviennent au nom des droits de l’homme (Irak, Afghanistan, Libye), ne parviennent pas à établir un régime démocratique plus stable, se lassent, puis abandonnent le terrain en laissant une situation encore plus grave que celle qu’ils avaient trouvée.

Dans ce vaste panorama des guerres contemporaines que je viens de tracer, qu’elles s’inscrivent dans une logique d’hubris, de piège de Thucydide, d’exportation de la démocratie par la force, on voit qu’elles s’arrêtent aussi bien sur un traité de paix, que sur un simple armistice, que sur une lassitude des puissants.

Il n’y a donc pas de règle qui nous dise comment s’arrêtent les guerres. Mais il nous reste une règle primordiale de la polémologie : la facilité qu’ont les gouvernants à se construire des certitudes pour déclencher une guerre, et la difficulté qu’ils ont à l’arrêter, une fois que les circonstances en ont fait dérailler le cours.

Documents
icoPaperclip32Dark Comment se terminent les Guerres.pdf icoPaperclip32Dark Conférence du 29 avril 2025 à l'ENS Comment s'arrêtent les guerres.pdf
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